Tragique fin d’une triste saison.
Que les morts reposent en paix.
Que les blessés se rétablissent.
Que les rescapés trouvent le courage.
Il ne faut pas chercher de responsable, c’est la faute à pas de chance, c’était le mauvais endroit au mauvais moment.
En aucun cas la montagne, le Grand Combin, n’est un monstre insatiable, un tueur d’alpiniste, ce sont des vices humains, la montagne, elle, elle s’en fout, elle tombe, parce qu’il est l’heure de tomber.
Nous avons eu peu de neige, des tempêtes de sable, une vague de chaleur extraordinaire….
Nous voyons fondre le monde, les glaciers, les neiges que l’on croyait éternelles.
Comme l’ours blanc sur sa banquise, on fait moins les malins.
Demain dimanche, à midi, nous serons encore là pour t’accueillir.
Ouverture d’été le samedi 25 juin.