Ça chauffe.
Plutôt que la lamentation nous optons pour l’adaptation.
Ainsi avons nous installé une toile d’ombrage.
Du plus bel effet, à la cabane dans les nuages.
A titre personnel, depuis quelques années, je deviens frileux.
J’améliore la technique avec le temps.
A 27° je garde le gilet.
Tant il est vrai qu’il est plus facile de se réchauffer que de se rafraîchir.
Plus facile de mettre la culotte mérinos,
que le caleçon réfrigérant.
Sans parler du bilan carbone.
